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Ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation et des Affaires rurales

HOPLOCAMPE DU POIRIER

Les dommages dues au hoplocampe du poirier Les dommages dues au hoplocampe du poirier Les dommages dues au hoplocampe du poirier Les dommages dues au hoplocampe du poirier
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Débutant

Ce ravageur attaque:

Nom scientifique
Hoplocampa brevis

Identification
Adultes

  • Semblables à des guêpes.
  • Jaune rougeâtre avec des pattes jaunes.
  • De 4 à 5 mm de longueur.

 Larves

  • De 8 à 12 mm de longueur.
  • Tête brune rougeâtre, corps jaune grisâtre.

Dommage

  • Un trou dans le côté ou à la cuvette oculaire des jeunes fruits.
  • Des tunnels creusés dans la chair des jeunes fruits et traces d’excréments mouillées autour du trou d’entrée.
  • Les fruits évidés.
  • La chute prématurée des fruits.

Souvent confondu avec
Cécidomyie de la poire – fruits aplatis et malformés et pas de trou d’entrée ni de trace d’excréments. 

Les dommages du carpocapse de la pomme - ne deviennent visibles qu’après cinq semaines et plus après le stade du calice. 

La tordeuse orientale du pêcher – ne s’attaque pas aux poires avant que les fruits soient plus gros et plus mûrs (plus près de la récolte).

Les dommages causés par la punaise terne - Les cicatrices courtes s’enfoncent seulement dans la couche extérieure du fruit, et il n’y aura pas de larves ni de tunnels dans la chair des fruits.

Période d’activité
Les femelles adultes pondent leurs oeufs sur les fleurs des poires à la fin de la floraison. 

Notes de surveillance
Être conscient des problèmes avec ce ravageur dans les blocs par le passé. Surveiller les jeunes fruits au stade de la nouaison en cas de dommages et se concentrer sur les pourtours des vergers.

Seuil d’intervention
Aucun seuil d’intervention établi. C’est un ravageur intermittent des poires en Ontario.

Avancé

Ce ravageur attaque:

Nom scientifique
Hoplocampa brevis

Identification
Adultes

  • Semblables à des guêpes.
  • Jaune rougeâtre avec des pattes jaunes.
  • De 4 à 5 mm de longueur.

 Larves

  • De 8 à 12 mm de longueur.
  • Tête brune rougeâtre, corps jaune grisâtre.

Dommage

  • Un trou dans le côté ou à la cuvette oculaire des jeunes fruits.
  • Des tunnels creusés dans la chair des jeunes fruits et traces d’excréments mouillées autour du trou d’entrée.
  • Les fruits évidés.
  • La chute prématurée des fruits.

Souvent confondu avec
Cécidomyie de la poire – fruits aplatis et malformés et pas de trou d’entrée ni de trace d’excréments. 

Les dommages du carpocapse de la pomme - ne deviennent visibles qu’après cinq semaines et plus après le stade du calice. 

La tordeuse orientale du pêcher – ne s’attaque pas aux poires avant que les fruits soient plus gros et plus mûrs (plus près de la récolte).

Les dommages causés par la punaise terne - Les cicatrices courtes s’enfoncent seulement dans la couche extérieure du fruit, et il n’y aura pas de larves ni de tunnels dans la chair des fruits.

Biologie
Les femelles apparaissent au printemps et pondent leurs oeufs sous la couche d’épiderme entre deux sépales dans les bourgeons des fleurs à la fin de la floraison. Les œufs éclosent et les larves se nourrissent sous l’épiderme, à la base des sépales qui se flétrissent. Ensuite les larves s’enfoncent vers le centre du fruit et se nourrissent des pépins. Quelquefois les larves continuent vers un autre fruit et s’en nourrissent aussi. Les petits fruits infestés tombent au sol, les larves matures quittent les fruits et s’enfoncent dans le sol de quelques centimètres et se tissent un cocon soyeux. Elles restent en diapause pendant l’hiver, puis passent au stade nymphal au printemps. Il y a une génération par an.

Période d’activité
Les femelles adultes pondent leurs oeufs sur les fleurs des poires à la fin de la floraison. 

Notes de surveillance
Être conscient des problèmes avec ce ravageur dans les blocs par le passé. Surveiller les jeunes fruits au stade de la nouaison en cas de dommages et se concentrer sur les pourtours des vergers.

Seuil d’intervention
Aucun seuil d’intervention établi. C’est un ravageur intermittent des poires en Ontario.
 
Moyens de lutte
Il n’y a pas de mesures de lutte homologuées contre l’hoplocampe du poirier en Ontario. Ces ravageurs sont généralement maîtrisés par les pulvérisations contre les autres ravageurs au stade du calice. Dans le plupart des cas, les infestations sont confinées aux pourtours des vergers.

Quelques unes des informations y inclues se sont trouvées ici (seulement disponible en anglais);

http://www.virginiafruit.ento.vt.edu/pearsawfly.html

http://www.plantwise.org

http://www.inra.fr/hyppz/RAVAGEUR/6hopbre.htm