Ces dommages sont attribuables à des femelles de l’anneleur du framboisier qui forment une cicatrice en forme de fermeture éclair immédiatement au-dessus et au-dessous du site d’oviposition. Cette blessure entraîne la courbure de l’extrémité de la tige, qui finit par mourir au-dessus de la blessure.

Les femelles de l’agrile du framboisier déposent leurs œufs directement sur l’écorce des tiges fructifères de l’année et, à l’éclosion, les larves commencent à se nourrir du tissu des tiges. Ces dernières deviennent gonflées et une boursouflure ou une galle apparaissent ensuite.

Les femelles du rhizophage du framboisier pondent leurs œufs sur le revers des jeunes feuilles et les larves migrent vers le bas de la tige pour hiverner dans les tissus du collet. Elles peuvent ainsi former un grand réseau de galeries et d’importants dommages dans les tissus du collet, ce qui affecte indirectement toute la tige.