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Ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation et des Affaires rurales

Le psylle du poirier

Débutant

Ce ravageur attaque:

Nom scientifique
Psylla pyricola

Identification
Oeufs

  • En forme de poire, de 0,3 à 0,5 mm de longueur.
  • Les œufs nouvellement pondus sont blanc crème. Avec le temps, la teinte passe au jaune avant d’éclore.
  • L’œuf est rattaché à l’écorce par une courte tige; de longues projections, comme des fils, s’étirent de l’extrémité plus étroite.

Nymphes

  • Les stades nymphaux plus petits sans ailes sont de couleur jaune pâle avec des yeux rouge, de forme ovale et aplatie, et se développent à l’intérieur d’une goutte claire de miellat.
  • Les nymphes plus grosses à « carapace dure » sont plus foncées, avec des zones noires où sont intercalées des parties vertes ou brunes. On remarque des ébauches alaires et ces nymphes sont actives.

Adultes

  • Ressemblent à de très petites cigales.
  • De 0,2 à 0,3 mm de longueur, celles qui hivernent sont plus grandes.
  • La génération qui hiverne est de couleur rouge brun, et les générations d’été sont de couleur brun pâle.
  • Leurs ailes sont maintenues au dessus de leur abdomen; la génération qui hiverne possède des taches foncées au milieu du bord interne de l’aile.

Dommage

  • Sécrètent le miellat, causent des taches roussâtres ou des stries sur la peau des fruits.
  • La fumagine recouvre le miellat, donnant une apparence noire veloutée aux fruits, aux feuilles et à l’écorce.
  • Flétrissement, roussissement qu’on attribue à la salive toxique qu’ils injectent dans les tissus pendant qu’ils s’alimentent.
  • Une infestation sévère peut causer une chute prématurée des feuilles, des bourgeons de fruits affaiblis et une réduction de la croissance des pousses.
  • Dans les cas extrêmes, les arbres peuvent succomber à la suite du choc occasionné par le psylle, caractérisé par un noircissement et une brûlure des feuilles de l’arbre, en raison de l'accumulation de toxines que le ravageur injecte dans la plante quand il s'en nourrit.

Souvent confondu avec
Le choc occasionné par le psylle est semblable aux dommages causés par les acariens, mais le choc dû au psylle est caractérisé par la présence de beaucoup de miellat sur les feuilles et les fruits du poirier.

La brûlure bactérienne – les chancres s’enfoncent à plus de 5 cm dans les lambourdes; un suintement bactérien de couleur ambre est produit après une pluie; la crosse de berger reste rattachée avec les feuilles mortes.

Période d’activité
Les adultes deviennent actifs quand les températures atteignent 10 °C. L’accouplement et la ponte des oeufs se produisent avant l’éclatement des bourgeons. Il y a de 2 à 3 générations chaque année en Ontario. Les nymphes du troisième stade nymphal apparaissent au stade du calice, mais quand le printemps est chaud leur apparition peut survenir au stade de la préfloraison.

Notes de surveillance
Il n’existe ni piège, ni phéromone qui permette de repérer la présence ou l’activité du psylle du poirier.

Prendre des échantillons de lambourdes à partir de la fin mars jusqu’à la récolte pour évaluer la pression éventuellement exercée par les psylles. Noter le moment où commence la ponte ainsi que le moment où éclosent les premiers œufs. Un minimum de 25 lambourdes et pousses terminales par verger (1 lambourde par arbre) fournit un bon échantillon des stades présents. Prélever au moins 10 lambourdes dans la partie centrale et le reste sur le pourtour de l’arbre.

Au fur et à mesure que le feuillage se déploie, le psylle pond ses œufs sur les feuilles et les pétioles tendres au bout des pousses. En général, les œufs sont concentrés à la base des feuilles le long de la nervure principale. Il s’agit, à l’apparition du feuillage, de prélever des pousses terminales pourvues de 4-6 feuilles. Pour les registres, on comptabilise les psylles présents dans les 5 dernières feuilles aux extrémités de chaque pousse.

On peut surveiller les populations présentes au cours de l’été en échantillonnant les pousses terminales et les pousses adventives dans la partie centrale de l’arbre. À la mi-juillet, la majorité des feuilles sont déjà plus résistantes, de telle sorte que l’activité des psylles se limite essentiellement aux pousses adventives et aux pousses terminales tendres.

À la fin de juin ou au début de juillet, les populations se découpent souvent en groupes d’âge différents. Pendant cette période, l’échantillonnage des pousses est très important si l’on veut connaître combien de stades sont présents (oeufs, jeunes nymphes, derniers stades nymphaux).  Il est également important d’évaluer la présence de nouveau miellat et de nymphes/adultes sur les feuilles et les fruits par des observations visuelles pour quantifier avec précision l’activité du psylle. Rappelons que les adultes ailés ne se nourrissent pas, seuls les stades nymphaux s’attaquent directement aux tissus végétaux.
Le prélèvement hebdomadaire d’échantillons constitue le meilleur moyen de surveiller efficacement l’évolution des populations de psylles. L’idéal est de commencer l’échantillonnage à la mi-avril et de le poursuivre jusqu’à la récolte.

Seuil d’intervention

Stade de développement
de la culture

Décision/Seuil

Dormance prolongée

Selon les antécédents, la présence d’adultes, si la ponte est commencée

Immédiatement à la chute des pétales

3 à 5 nymphes actifs/lambourde et la majorité des oeufs sont éclos

1ère pulvérisation d’urgence d’été

3 à 5 nymphes actifs/pousse adventive

2e Pulvérisation d’urgence d’été

>5 nymphes actifs/pousse adventive avec une population d’insectes utiles réduite; les fruits collants et la perte des fruits imminente

Avancé

Ce ravageur attaque:

Nom scientifique
Psylla pyricola

Identification
Oeufs

  • En forme de poire, de 0,3 à 0,5 mm de longueur.
  • Les œufs nouvellement pondus sont blanc crème. Avec le temps, la teinte passe au jaune avant d’éclore.
  • L’œuf est rattaché à l’écorce par une courte tige; de longues projections, comme des fils, s’étirent de l’extrémité plus étroite.

Nymphes

  • Les stades nymphaux plus petits sans ailes sont de couleur jaune pâle avec des yeux rouge, de forme ovale et aplatie, et se développent à l’intérieur d’une goutte claire de miellat.
  • Les nymphes plus grosses à « carapace dure » sont plus foncées, avec des zones noires où sont intercalées des parties vertes ou brunes. On remarque des ébauches alaires et ces nymphes sont actives.

Adultes

  • Ressemblent à de très petites cigales.
  • De 0,2 à 0,3 mm de longueur, celles qui hivernent sont plus grandes.
  • La génération qui hiverne est de couleur rouge brun, et les générations d’été sont de couleur brun pâle.
  • Leurs ailes sont maintenues au dessus de leur abdomen; la génération qui hiverne possède des taches foncées au milieu du bord interne de l’aile.

Dommage

  • Sécrètent le miellat, causent des taches roussâtres ou des stries sur la peau des fruits.
  • La fumagine recouvre le miellat, donnant une apparence noire veloutée aux fruits, aux feuilles et à l’écorce.
  • Flétrissement, roussissement qu’on attribue à la salive toxique qu’ils injectent dans les tissus pendant qu’ils s’alimentent.
  • Une infestation sévère peut causer une chute prématurée des feuilles, des bourgeons de fruits affaiblis et une réduction de la croissance des pousses.
  • Dans les cas extrêmes, les arbres peuvent succomber à la suite du choc occasionné par le psylle, caractérisé par un noircissement et une brûlure des feuilles de l’arbre, en raison de l'accumulation de toxines que le ravageur injecte dans la plante quand il s'en nourrit.

Souvent confondu avec
Le choc occasionné par le psylle est semblable aux dommages causés par les acariens, mais le choc dû au psylle est caractérisé par la présence de beaucoup de miellat sur les feuilles et les fruits du poirier.

La brûlure bactérienne – les chancres s’enfoncent à plus de 5 cm dans les lambourdes; un suintement bactérien de couleur ambre est produit après une pluie; la crosse de berger reste rattachée avec les feuilles mortes.

Biologie

Première génération
Le psylle du poirier hiverne au stade adulte dans les fissures de l’écorce des arbres ou sous des débris. Les jours doux et ensoleillés, lorsque la température atteint 10 °C, on peut observer les psylles du poirier adultes qui se déplacent sur l’écorce. Si la température se maintient autour de 10 °C, l’accouplement et la ponte peuvent débuter dès la mi-mars. Avant le débourrement, le psylle du poirier pond ses œufs de façon isolée ou en ligne droite sur les surfaces rugueuses des bourgeons et des rameaux ainsi que dans les fissures de l’écorce. Au fur et à mesure que les bourgeons se développent et que de nouvelles pousses apparaissent, le psylle du poirier se déplace pour aller pondre sur le pourtour des feuilles et les tiges des pousses. On peut observer les oeufs minuscules à l’aide d’une loupe grossissant 10-14 fois. L’éclosion s’étale sur une longue période (sur 6-7 jours à 21 °C ou sur 35 jours à 5 °C). Les oeufs pondus en premier sur le feuillage éclosent au moment où les feuilles commencent à se déployer.

Une femelle peut pondre de 180 à 350 œufs et même davantage sur une période de 2 à 3 semaines, ce qui rend difficile de combattre cet insecte. Entre le stade de l’oeuf et le stade adulte, le psylle du poirier passe par cinq stades nymphaux. Pour se nourrir, les nymphes sucent la sève des bourgeons, des feuilles et des pousses en croissance. Les deux premiers stades nymphaux sont relativement immobiles et produisent un peu de miellat (la sève que la nymphe excrète pendant qu’elle s’alimente). Les nymphes du troisième stade nymphal (ainsi que des quatrième et cinquième stades nymphaux) sont reconnaissables à la présence d’ébauches alaires. Lorsqu’elles se nourrissent, ces nymphes se cachent souvent sous le miellat à l’aisselle des feuilles. Cette caractéristique rend la maîtrise de l’insecte à l’aide de pesticides extrêmement difficile.

La durée du cycle biologique complet, de l’oeuf à l’adulte, peut varier de 3 à 7 semaines pour la première génération, mais dépend énormément de la température.

Deuxième génération
Les adultes de la deuxième génération font leur apparition entre le début et le milieu de juin et peuvent continuer à vivre et à se multiplier pendant tous le mois de juillet et le début d’août. Environ 7 à 10 jours après l’émergence, les femelles commencent à pondre leurs oeufs le long de la nervure principale sur la face inférieure des nouvelles feuilles. La ponte (250-500 oeufs par femelle) peut durer 4 à 5 semaines. Les oeufs éclosent de 7 à 14 jours après avoir été pondus, de telle sorte que tous les stades de croissance peuvent être présents en même temps. Du fait du manque d’uniformité dans la croissance des individus, cette génération est celle qui est la plus difficile à combattre.

Troisième génération

Il s’agit d’une génération partielle, généralement beaucoup moins nombreuse que les deux précédentes. La ponte se fait surtout sur les gourmands qui s’allongent dans la portion centrale de l’arbre ou sur les jeunes pousses terminales. Le nombre d’œufs pondus (200-400/femelle) dépend des conditions climatiques et de la température étant donné que les psylles ne pondent pas sur les arbres qui sont flétris ou endommagés par des chaleurs excessives. Les psylles peuvent encore être présents en grand nombre même une fois la récolte terminée. Les oeufs de la troisième génération peuvent apparaître au début d’août ou plus tard, selon les conditions météorologiques. Bien des nymphes qui sortent de ces oeufs ne résistent pas à l’hiver. À cause de l’activité de ponte continue et du manque d’uniformité dans la croissance, il est difficile de distinguer les individus des première et deuxième générations.

Période d’activité
Les adultes deviennent actifs quand les températures atteignent 10 °C. L’accouplement et la ponte des oeufs se produisent avant l’éclatement des bourgeons. Il y a de 2 à 3 générations chaque année en Ontario. Les nymphes du troisième stade nymphal apparaissent au stade du calice, mais quand le printemps est chaud leur apparition peut survenir au stade de la préfloraison.

Notes de surveillance
Il n’existe ni piège, ni phéromone qui permette de repérer la présence ou l’activité du psylle du poirier.

Prendre des échantillons de lambourdes à partir de la fin mars jusqu’à la récolte pour évaluer la pression éventuellement exercée par les psylles. Noter le moment où commence la ponte ainsi que le moment où éclosent les premiers œufs. Un minimum de 25 lambourdes et pousses terminales par verger (1 lambourde par arbre) fournit un bon échantillon des stades présents. Prélever au moins 10 lambourdes dans la partie centrale et le reste sur le pourtour de l’arbre.

Au fur et à mesure que le feuillage se déploie, le psylle pond ses œufs sur les feuilles et les pétioles tendres au bout des pousses. En général, les œufs sont concentrés à la base des feuilles le long de la nervure principale. Il s’agit, à l’apparition du feuillage, de prélever des pousses terminales pourvues de 4-6 feuilles. Pour les registres, on comptabilise les psylles présents dans les 5 dernières feuilles aux extrémités de chaque pousse.

On peut surveiller les populations présentes au cours de l’été en échantillonnant les pousses terminales et les pousses adventives dans la partie centrale de l’arbre. À la mi-juillet, la majorité des feuilles sont déjà plus résistantes, de telle sorte que l’activité des psylles se limite essentiellement aux pousses adventives et aux pousses terminales tendres.

À la fin de juin ou au début de juillet, les populations se découpent souvent en groupes d’âge différents. Pendant cette période, l’échantillonnage des pousses est très important si l’on veut connaître combien de stades sont présents (oeufs, jeunes nymphes, derniers stades nymphaux).  Il est également important d’évaluer la présence de nouveau miellat et de nymphes/adultes sur les feuilles et les fruits par des observations visuelles pour quantifier avec précision l’activité du psylle. Rappelons que les adultes ailés ne se nourrissent pas, seuls les stades nymphaux s’attaquent directement aux tissus végétaux.
Le prélèvement hebdomadaire d’échantillons constitue le meilleur moyen de surveiller efficacement l’évolution des populations de psylles. L’idéal est de commencer l’échantillonnage à la mi-avril et de le poursuivre jusqu’à la récolte.

Seuil d’intervention

Stade de développement
de la culture

Décision/Seuil

Dormance prolongée

Selon les antécédents, la présence d’adultes, si la ponte est commencée

Immédiatement à la chute des pétales

3 à 5 nymphes actifs/lambourde et la majorité des oeufs sont éclos

1ère pulvérisation d’urgence d’été

3 à 5 nymphes actifs/pousse adventive

2e Pulvérisation d’urgence d’été

>5 nymphes actifs/pousse adventive avec une population d’insectes utiles réduite; les fruits collants et la perte des fruits imminente

Moyens de lutte
Alléger l’élagage, qui favorise la prolifération de la croissance des pousses terminales. Ces pousses en surabondance offrent plus de sites d’alimentation au ravageur.

Éliminer les pousses adventices et les nouvelles pousses avant que les tissus se lignifient (souvent avant la mi-juillet). Les pousses adventices ou gourmands situés dans la partie centrale de l’arbre sont des sites de ponte de prédilection pour les psylles. L’enlèvement de cette source de feuillage dense réduit non seulement l’activité de ponte, mais permet aussi une meilleure pénétration des pesticides et une meilleure couverture.

Attention à une trop grande fertilisation. Les populations de psylles explosent dans des conditions de végétation luxuriante. Un sol trop riche en azote entraîne souvent une croissance excessive du feuillage, favorisant du coup l’activité des psylles. De bons programmes de fertilisation équilibrés aident à limiter la croissance des arbres et le nombre de pousses adventices ou de gourmands produits.

Respecter les recommandations de plantation applicables au cultivar et au porte-greffe choisi.

Les arbres plantés trop rapprochés les uns des autres (sur la rangée ou entre les rangées) sont en concurrence pour les éléments nutritifs du sol et la lumière. Cette situation peut entraîner une croissance végétative excessive et la production de rameaux étiolés, autant de conditions favorables à l’accroissement des populations de psylles. L’enchevêtrement des branches appartenant à différents arbres facilite aussi la migration des psylles dans le verger et fait en sorte qu’il devient alors très difficile d’assurer une bonne couverture lors des pulvérisations.

S’assurer d’une bonne circulation d’air en éclaircissant les brise-vent et en orientant les rangées d’arbres convenablement. Les psylles adultes ne volent pas aisément et le font seulement sur de courtes distances. La présence de brise-vent denses adjacents à des blocs de poiriers peut aussi compliquer la lutte contre les psylles en créant des zones abritées qui sont favorables au dispersement des psylles adultes.

Assurer une bonne couverture de pulvérisation : bien des problèmes occasionnés par les psylles s’expliquent par une mauvaise couverture de la culture au moment des pulvérisations. La présence d’une population importante de psylles au cœur des arbres à la suite d’une ou de plusieurs applications d’un antiparasitaire est une indication que le traitement laisse à désirer. Pour assurer une bonne protection, il est important de calibrer le pulvérisateur périodiquement (au moins une fois par an). Au fur et à mesure que la saison avance, ou quand les populations de psylles culminent, il peut être nécessaire d’accroître le volume d’eau pour que la solution pénètre mieux dans la frondaison et atteigne le feuillage et les gourmands en croissance.

Les pesticides homologués pour la lutte contre les psylles agissent de différentes manières. Le choix d’un pesticide doit tenir compte de l’importance de la population, du stade biologique de l’insecte et des pesticides déjà employés au même endroit. La lutte contre les psylles repose sur la surveillance. Celle-ci permet de déterminer le stade de croissance de la population et le moment le plus indiqué pour le traitement. Pour un maximum de résultats, on doit s’efforcer de faire le traitement lorsque la majorité des individus se trouve dans les trois premiers stades nymphaux.

Lutte contre le psylle du poirier à l’aide des insecticides - Les insecticides sont utilisés pour lutter contre le psylle du poirier dans la plupart des vergers commerciaux. Voir la publication 360F du MAAARO, Guide de protection des cultures fruitières :

Chapitre 2 - Poire ou le calendrier poire seulement - Recommandations contre le psylle du poirier aux stades prébouton vert, bouton blanc, calice, première pulvérisation de couverture, et pulvérisations d’été

Plusieurs prédateurs, comme les punaises de la molène, les punaises des fleurs, la coccinelle et le syrphe, les perces oreilles et plusieurs espèces des fourmis, se nourrissent du psylle du poirier. Attention dans le choix du programme de pulvérisation, il faut s’assurer de ne pas nuire à ces insectes bénéfiques.

Quelques unes des informations y inclues se sont trouvées ici (seulement disponible en anglais);

http://www.agf.gov.bc.ca/cropprot/tfipm/pearpsylla.htm

http://treefruit.yakima.wsu.edu/pestmanagement/Pest

http://agsci.psu.edu/tfpg/part2/insects-mites-web/pear-psylla

pg.152 Common Tree Fruit Pests

p.36 Tree Fruit Field Guide