PRÈLE DES CHAMPS
Nom scientifique: Equisetum arvense L.
Autres noms : field horsetail, queue-de-renard, prèle, herbe à écurer, prèle commune, horse-pipes, joint-grass, mare’s-tail
Description générale : Plante vivace ne produisant ni fleurs ni graines, mais se reproduisant par spores et par tiges souterraines horizontales (rhizomes).
Habitat : La prèle des champs se trouve partout en Ontario, tant dans les dépressions mal drainées que sur les sols sableux ou caillouteux bien drainés, comme les talus de chemins de fer et les bords de routes. La prèle est très envahissante et peut étouffer les plantes cultivées et non cultivées.
Plantules
- Plant development begins with the appearance of stems that shrivel up and disappear
- Soon after this, shoots appear
Tiges
- Rhizomes brun foncé ou noirâtres rampant sur de longues distances, souvent à 1 m (3 1/3 pi) de profondeur
- Ses rhizomes produisent à des moments différents de l’année de nombreuses tiges aériennes appartenant à deux types :
- Au début du printemps-
- Tiges gris cendres ou brun clair, non ramifiées, creuses et nouées
- Une gaine entoure chaque nœud
- La tige se termine par un cône brun où se forment les spores
- Tiges gris cendres ou brun clair, non ramifiées, creuses et nouées
- Après la dispersion des spores (début mai), les cônes pâlissent pour devenir brun clair, se fanent et meurent
- Simultanément, un second type de tige apparaît-
- Verte, mince, dressée et creuse
- Sans feuilles, mais ornée d’un verticille de 6 à 8 rameaux presque à chaque nœud
- Chaque rameau pourra se ramifier et porter des verticilles plus petits
- Une petite gaine dentée entoure chaque nœud de la tige et des rameaux
- La tige ne se termine jamais par un cône sporifère
- Verte, mince, dressée et creuse
- Au début du printemps-
- Les deux types de tiges se détachent facilement à l’endroit des nœuds et s’emboîtent comme les sections d’un tuyau de poêle
Souvent confondu avec
Le spargoute des champs
Mise en garde :
Elle est particulièrement toxique pour les jeunes chevaux. Il se peut que la prèle séchée dans le foin soit plus toxique que la prèle fraîche.