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Noms scientifique
La coccinelle asiatique multicolore, Harmonia axyridis (Pallas)et la coccinelle à sept points, Coccinella septempunctata (L.)

Identification
Œufs :

• 1,2 mm de longueur,
• De forme ovale,
• Jaune vif,
• Réunis par petits groupes.

Larves :

• 8–11 mm de longueur à maturité,
• Noires et possèdent des taches proéminentes d’un jaune orangé,
• Couvertes d’épines (souvent décrites comme ayant la forme d’un alligator).

Pupes :

• De couleur jaune ou orangé foncé,
• D’apparence voûtée,
• On les retrouve rattachées aux feuilles.

Adultes :

• Gros insectes de forme ovale et convexe,
• Leur taille varie de 1,4-10 mm,
• Souvent d’une couleur voyante et ponctuée de taches foncées.

Souvent confondues avec

• Les larves de chrysopes et d’hémérobes – les larves de coccinelles sont parfois confondues avec celles des chrysopes et des hémérobes à cause de l’allure générale de leur corps, cependant elles ne sont pas pourvues des pièces buccales proéminentes en forme de faucille.

La  coccinelle adulte est assez unique et on la confond rarement avec d’autres insectes. Il existe de nombreux types différents de coccinelles et il peut être difficile de les distinguer d’une espèce à l‘autre. Les larves et les pupes de la coccinelle sont fréquemment présentes dans les vergers, mais souvent on ne les reconnaît pas comme telles.

Interaction avec l’hôte
Les adultes et les larves sont des prédateurs efficaces que l’on trouve dans un éventail de cultures et sur divers végétaux dans un aménagement paysager. Si certaines coccinelles sont généralistes, se nourrissant de pucerons, de petites chenilles, de cochenilles et d’acariens, d’autres, comme Stethorus spp., se nourrissent presque exclusivement d’acariens phytophages. Le nombre de proies tuées dépend de la densité de population des insectes nuisibles. Quand les proies sont abondantes, il arrive que les coccinelles ne consomment leurs proies qu’à moitié avant de passer à la suivante.

Période d’activité
Prébouton rose jusqu’à la précueillette.

Insectes attaqués
Se nourrissant de pucerons, de petites chenilles, de cochenilles et d’acariens.

Surveillance
Faire le dépistage des coccinelles en observant les pousses terminales au moment des opérations de surveillance des pucerons. Faire le dépistage de Stethorus spp. au moment des opérations de surveillance des acariens. Si les populations sont suffisamment élevées, ces prédateurs gardent les ennemis indirects comme les pucerons et les acariens sous les seuils de nuisibilité économique là où les traitements faits dans le cadre des programmes de lutte intégrée reposent sur l’utilisation de produits à risques réduits.

Avancé

Noms scientifiques
On signale plusieurs espèces de coccinelles différentes dans les vergers de l’Ontario. La coccinelle asiatique multicolore, Harmonia axyridis (Pallas)et la coccinelle à sept points, Coccinella septempunctata (L.) sont deux des espèces les plus courantes. Ces deux coccinelles sont des espèces introduites.

Identification
Œufs : Les œufs des coccinelles mesurent 1,2 mm de longueur, sont de forme ovale, jaune vif et réunis par petits groupes.

Larves : Les larves à maturité font 8–11 mm de longueur, sont noires et possèdent des taches proéminentes d’un jaune orangé voyant qui permettent d’identifier les espèces. Elles sont couvertes d’épines et sont souvent décrites comme ayant la forme d’un alligator.

Pupes : Les pupes sont de couleur jaune ou orangé foncé, d’apparence voûtée et on les retrouve rattachées aux feuilles. 

Adultes : Les adultes sont de gros insectes de forme ovale et convexe. Leur taille varie, la plus petite coccinelle étant Stethorus spp. (1,4–1,6 mm) et la plus grosse, Anatis spp. (8–10 mm). Les coccinelles sont souvent d’une couleur voyante et ponctuée de taches foncées - un avertissement aux prédateurs potentiels qu'ils goûtent désagréables.

Souvent confondues avec

• Les larves de chrysopes et d’hémérobes – les larves de coccinelles sont parfois confondues avec celles des chrysopes et des hémérobes à cause de l’allure générale de leur corps, cependant elles ne sont pas pourvues des pièces buccales proéminentes en forme de faucille.

La  coccinelle adulte est assez unique et on la confond rarement avec d’autres insectes. Il existe de nombreux types différents de coccinelles et il peut être difficile de les distinguer d’une espèce à l‘autre. Les larves et les pupes de la coccinelle sont fréquemment présentes dans les vergers, mais souvent on ne les reconnaît pas comme telles.

Interaction avec l’hôte
Les adultes et les larves sont des prédateurs efficaces que l’on trouve dans un éventail de cultures et sur divers végétaux dans un aménagement paysager. Si certaines coccinelles sont généralistes, se nourrissant de pucerons, de petites chenilles, de cochenilles et d’acariens, d’autres, comme Stethorus spp., se nourrissent presque exclusivement d’acariens phytophages. Les coccinelles hivernent à l’état d’imago (insecte parfait) et s’activent au printemps pondant les œufs près des colonies de pucerons. En Ontario, il peut y avoir une ou deux générations par année, le cycle évolutif prend un mois. Les individus de certaines espèces, dont la coccinelle asiatique multicolore, consomment plusieurs centaines de pucerons au cours de leur vie. Le nombre de proies tuées dépend de la densité de population des insectes nuisibles. Quand les proies sont abondantes, il arrive que les coccinelles ne consomment leurs proies qu’à moitié avant de passer à la suivante. À l’occasion des coccinelles se nourrissent de fruits trop mûrs ou endommagés comme les pommes, les pêches ou les raisins.

Période d’activité
Prébouton rose jusqu’à la précueillette.

Insectes attaqués
Se nourrissant de pucerons, de petites chenilles, de cochenilles et d’acariens.

Surveillance
Faire le dépistage des coccinelles en observant les pousses terminales au moment des opérations de surveillance des pucerons. Faire le dépistage de Stethorus spp. au moment des opérations de surveillance des acariens. Si les populations sont suffisamment élevées, ces prédateurs gardent les ennemis indirects comme les pucerons et les acariens sous les seuils de nuisibilité économique là où les traitements faits dans le cadre des programmes de lutte intégrée reposent sur l’utilisation de produits à risques réduits.